Titre : Ainsi se débat la vie (11-20)

Auteur : Hervé Hesté

Genre : Pensée

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Si on savait d'où l'on vient et où l'on s'en va, on ne voudrait plus vivre comme ça.

 

La vie s’apparente aux nombres complexes. Le réel, aperçu par nos sens, s’entremêle avec les idées que s’en fait notre imaginaire. 

 

La vie goûte chair et la mort goûte à la vie. 

 

Dans la vie, il est important de faire les choses qui nous tiennent à coeur avant que lâche notre coeur.

 

Les vraies choses de la vie ne sont pas nécessairement celles qu’on a envie de vivre, mais la plupart du temps, ce sont celles que l’on doit subir.

 

La vie est un châtiment temporaire tandis que la mort est une récompense éternelle.

 

Tu es poussière et tu retourneras en poussière. Et toi poussière, tu es lumière et tu retourneras en lumière. 

 

Dans la vie, quelques fois, vaut mieux accepter la dure réalité et continuer que d'approuver sa douce vérité et ne plus avancer.

 

Bien médiocre est la vie de celui qui doit la comparer à celle d'autrui pour se convaincre de l'avoir réussi.  

 

La vie n’est pas généralement blanche ou noire. La vie est grise. Mais si l’on prend le temps de bien analyser chaque zone de gris, on se rendra vite compte que la vie est remplie de petits détails blanc et noir qui se juxtaposent. 

 

La vie ne peut pas être issue, seulement, de l'ordre absolu, car l'ordre absolu représente la stagnation absolue. Il lui a fallu un compromis d’adaptation avec le désordre. Ainsi la vie est issue du compromis entre l'état solide (l’ordre) et l’état gazeux (le désordre), l'état liquide (l’eau) étant l'équilibre (le compromis) d'où émergea la vie.